De notre empreinte familiale découle notre savoir-faire. Artisans du vin portés par l’amour du bon, nos gestes sont précis, notre viticulture biologique, nos interventions minimales en cave. Le bon sens guide nos choix. De cette alchimie unique naissent nos cuvées, subtiles créations.
Pour laisser la parole au caractère de nos terroirs, leur nature éclatante et leurs expressions délicates, nous osons : revisiter les traditions, quitter les routes toutes tracées, imaginer d’autres chemins. Sans relâche, avec enthousiasme.
Et s’il grandit avec son temps, notre Domaine familial sait préserver l’essentiel : son indépendance. Quand il s’enrichit de nouvelles parcelles, c’est au nom du meilleur : une autonomie vertueuse, où nous maîtrisons chaque étape de l’élaboration de nos vins.
L’histoire Figuière s’écrit au pluriel, entre frère et sœurs. A trois, nous vivons au quotidien ce qui nous a été légué. Ensemble, nous nous complétons si bien ! François bichonne nos vignes et explore leurs nuances en cave. Magali met en lumière nos flacons et les fait voyager. Delphine veille à la pérennité de nos projets.
Nos envies sont communes : faire rayonner nos cuvées, nées d’un héritage méditerranéen et solaire. Dans cette quête sincère de partage, nous entraînons notre équipe aux airs de joyeuse tribu, mais aussi nos cavistes et restaurateurs, particuliers ou professionnels… Toutes ces personnes fidèles qui font partie de notre identité.
À Figuière, on invite, on reçoit, on échange… Que ce soit à L’Assiette, notre table orchestrée par notre chef et cousin Sébastien ou à la Bastide Barbeiranne, notre maison d’hôtes de charme enveloppée d’une nature luxuriante et inspirante ! Nous y concoctons des instants singuliers pour réunir les amoureux du terroir, les bons produits et le vin. Avec convivialité, simplicité et un brin d’esprit bohème… Comme à la maison !
Le nom Figuière vient de Figuiera – le figuier en dialecte provençal. Un arbre de traille impressionnante a dominé au milieu l’une des plus belles parcelles du Domaine avant de brûler. Baptiste de confession, le prédécesseur des Combard, André Connesson, a transformé ce nom Figuiera en Domaine Saint André de Figuière. Les Combard ont gardé ce nom jusqu’en février 2017 pour s’appeler Figuière.
Avant d’être vigneron tout près de Chablis, Alain Combard et sa femme tenaient un élevage de vaches laitières et produisaient des produits laitiers. Tous deux provençaux (Alain est né à Salon de Provence, Gabrielle à Lantosque dans l’arrière-pays niçois), ils se sont rencontrés à Chablis, elle alors institutrice, lui jeune éleveur.
Alain et Gabrielle Combard ont eu 4 enfants : Delphine, l’aînée, Magali, la seconde, François, le troisième et la dernière, Valérie. François est venu travailler aux côtés de son père après avoir obtenu son diplôme des Beaux-Arts et après avoir validé son BTS de viticulteur à Hyères. Delphine et Magali ont démarré respectivement leur carrière dans la gestion et le commercial de grands groupes. Elles arrivent en 2004 lorsque la vague des rosés n’était encore qu’une timide tendance. Ils gèrent ensemble le quotidien à Figuière. Valérie, elle, gère la Bastide Barbeiranne en proposant ses services de conciergerie.
Figuière a accueilli 5 éditions d’un festival d’arts vivants qui portait son nom, le Figuière Festival. Nicolas Barrot, directeur artistique et ami de François et de sa femme, Marie-Claire, s’est chargé de cette programmation très riche. Chaque année, trois soirées successives proposaient deux spectacles comblant les convives, tout en leur faisant découvrir le vignoble et ses vins. Et pour Figuière, une aventure humaine incroyable.
Notre vignoble situé à Collobrières s’appelle Clos Fanny, du prénom de la fille du précédent propriétaire, Fernand Thouron. Comme Figuière, dans cette famille, on était viticulteurs de pères en filles.
L’Assiette, le restaurant de Figuière, est née en 2020, année des confinements COVID ! Son chef Sébastien, le cousin germain des enfants Combard, et sa compagne Emma, ont vécu de nombreuses années sur une île au Caraïbes, Tortola. Ils en ont conservé un sens de l’accueil décontracté et des assiettes simples, savoureuses, généreuses.
Notre responsable comptabilité client, Sandrine Choine, est arrivée en 1994. C’est notre collaboratrice avec le plus d’ancienneté parmi la cinquantaine travaillant aujourd’hui à Figuière.
Lorsqu’Alain Combard achète le vignoble en juin 1992, celui-ci est déjà bio. André Connesson, le précédent propriétaire de Figuière et ingénieur agronome, faisait partie des pionniers. Le domaine est certifié Ecocert depuis 1979. Alain Combard continua la pratique et l’appliquera à chaque nouvel hectare, et ce malgré le manque d’adhésion des marchés de l’époque.
Pour laisser la parole au caractère de nos terroirs, leur nature éclatante et leurs expressions délicates, nous osons : revisiter les traditions, quitter les routes toutes tracées, imaginer d’autres chemins. Sans relâche, avec enthousiasme.
Et s’il grandit avec son temps, notre Domaine familial sait préserver l’essentiel : son indépendance. Quand il s’enrichit de nouvelles parcelles, c’est au nom du meilleur : une autonomie vertueuse, où nous maîtrisons chaque étape de l’élaboration de nos vins.
C’est en Bourgogne, dans les années 70, que se forment les racines de notre famille vigneronne. Pendant 25 ans, Alain Combard, notre père, y développe avec son ami Michel Laroche ce qui deviendra l’une des plus belles maisons de Chablis : le Domaine Laroche.
Aviateur, navigateur et insatiable explorateur, Alain décide pourtant en 1992 de tenter une nouvelle aventure vigneronne. Il met alors le cap vers la Provence, sa terre natale. En découvrant le Domaine Saint André de Figuière, le coup de cœur est immédiat. Ses 18 hectares sont déjà cultivés en bio depuis 1979 : un choix audacieux de son précédent propriétaire, André Connesson, ingénieur agronome avant-gardiste.
Alain s’y installe avec un désir fort : surprendre par ses blancs, lui le Bourguignon ! Puis, une profonde conviction ne tarde pas à l’animer : un rosé de Provence mérite d’être l’égal d’un blanc. Une parfaite alchimie s’opère alors entre son savoir-faire chablisien et ce terroir londais, encore peu reconnu. Le style Figuière est né !
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