Figure #2 rouge

2023 : Une année ponctuée par les imprévus climatiques. L’hiver fut ainsi marqué par une exceptionnelle sécheresse. Mais celle-ci aura, au final, permis d’éviter le débourrement trop précoce que semblaient promettre des températures supérieures à la moyenne en éliminant tout risque d’exposition à un gel tardif. Les pluies de mai et de juin, ensuite, ont commencé par rassurer en atténuant le risque de stress hydrique. En revanche, la cadence des précipitations a avivé, avec des différences entre les secteurs, la pression sanitaire, obligeant les vignerons à faire preuve de beaucoup de réactivité pour protéger leurs vignes.

Si la récolte s’annonçait sous les meilleurs auspices, une semaine début août à 40 °C associée à des nuits chaudes, ont inversé la tendance ! À cela se sont ensuite ajoutés un fort mistral arrachant des grappes, et une chute de 10 °C au thermomètre. Les conséquences ? Le ralentissement de la photosynthèse a engendré jusqu’à 15 jours de retard de maturité sur certaines parcelles. La vendange a donc parfois dû être arrêtée 5 jours consécutifs. Des pertes ont par ailleurs été enregistrées, si bien que les volumes sont inférieurs à ceux de 2022. Fort heureusement, les cépages plus tardifs comme le Mourvèdre et le Cinsault s’en sont très bien sortis !

Si la récolte s’annonçait sous les meilleurs auspices, une semaine début août à 40 °C associée à des nuits chaudes, ont inversé la tendance ! À cela se sont ensuite ajoutés un fort mistral arrachant des grappes, et une chute de 10 °C au thermomètre. Les conséquences ? Le ralentissement de la photosynthèse a engendré jusqu’à 15 jours de retard de maturité sur certaines parcelles. La vendange a donc parfois dû être arrêtée 5 jours consécutifs. Des pertes ont par ailleurs été enregistrées, si bien que les volumes sont inférieurs à ceux de 2022. Fort heureusement, les cépages plus tardifs comme le Mourvèdre et le Cinsault s’en sont très bien sortis !